FOOTBALL: Bilan du 1er séminaire du SYCAMEEF

Le syndicat camerounais des entraîneurs et éducateurs de football ( SYCAMEEF) a tenu son premier séminaire les 16 et 17 août 2019 dans la salle de conférence du siège de la CNPS à Yaoundé. Plusieurs modules ont été exposés aux participants.

Si le premier jour l’engouement de certains éducateurs et entraineurs n’a pas été total à cause de l’indisponibilité des uns et des autres, le second jour il y a une augmentation du nombre de participants.

Au sortir de ce point de presse donné par Jules Frédéric Nyonga le président de cette association,

Le coach Mboyong Pierre Salomon, participant exprime son sentiment :

« C’est une bonne idée de mettre cela en place par rapport aux situations habituelles de notre corps. Au vu de ce qui a été fait, je crois que beaucoup de chose pourraient changer. L’un des objectifs de ce séminaire est la valorisation de la profession d’entraîneur de football car il faudrait qu’on change de comportement vis à vis des entraîneurs. Au vu de ce qui a été fait, beaucoup de chose vont changer. Par exemple l’éducateur devrait vivre du travail qui est le sien. Nous pensons que si cela est véritablement suivi on prendra les entraîneurs au sérieux. Avec ce qui vient de se passer beaucoup de chose pourront s’améliorer dans notre corps de métier. »

Le vice-président du SYCAMEEF Thierry Metomo :

« Première chose que nous allons retenir c’est que enfin le SYCAMEEF est né, nous avons reçu notre certificat depuis quelques mois mais nous nous sommes dit depuis le mois de mai qu’au moins une annonce forte c’est- à- dire pour que les gens maîtrisent que cet enfant est là né. Nous nous devons d’organiser un séminaire d’abord de sensibilisation de nos régionaux et un peu d’éducation de ces derniers pour qu’ils puissent aller continuer le travail à leur niveau. Donc cela a été lancé comme idée. Comme un seul homme nous nous sommes dits que nous ne devons pas nous arrêter aux régionaux mais qu’on trouve un partenaire qui pourra faire venir les autres entraîneurs à Yaoundé. Je suis content des efforts parce que le message est passé. »

Félix EYEBE (c)