Fin du tournoi de la solidarité: Dragon de Yaoundé sur le podium.
mars 18, 2022Démarré le 8 février 2022, le tournoi de la solidarité de l’association des clubs d’élite de football du Centre s’est achevé ce jeudi 17 février. C’était à l’issue de la finale ayant opposé Fauve Azur de Yaoundé club nouvellement promu en Élite One à Dragon de Yaoundé, l’une des vieilles formations (en terme d’existence).
Sur 13 clubs au départ, 12 ont continué jusqu’à la fin. A savoir : Dragon de Yaoundé, Fauve Azur de Yaoundé, Canon de Yaoundé, Tonnerre de Yaoundé, Yaoundé ll formation, Colombe du Dja et lobo, Apejes de Mfou, As Fortuna, Lausanne de Yaoundé, Renaissance FC de Ngoumou, As Fap de Yaoundé et Lion Blessé. Eding sport ayant décidé d’abandonner la compétition.
Les rencontres se sont disputées sur le site de Mbankomo pour les éliminatoires, et le stade annexe A du stade d’Olembe pour la finale. Cette ultime rencontre a vu la victoire aux tirs aux buts des »cha cha cha Boys » de Dragon sur les « Fire Boys » de Fauve Azur 5-4.
A l’issue du temps réglementaire, le score était de 1 but (un penalty) partout. Les enfants du président Kome Max ayant manqué la transformation d’un autre penalty par le biais de Koné Félix aux ultimes instants.
Une très belle rencontre qui a fait dire à plusieurs spectateurs qu’elle était supérieure en qualité et en densité émotionnelle à la finale de la coupe du Cameroun et au match inaugural du championnat professionnel de football entre Bamboutos de Mbouda et PWD de Bamenda.
C’est de bonne augure pour la compétition qui prend son envol le weekend prochain. Des distinctions ont été données aux méritants par le comité d’organisation.
Le public a répondu présent notamment les inconditionnels de Fauve Azur qui semblent vouloir marcher sur les traces de Bamboutos de Mbouda, toujours nombreux et présents.
Espérons que les différents états majors sauront tirer le maximum de cette compétition. C’est tout le mal que nous leur souhaitons.
Réaction du Coach Ngatchou alias Bebeto de Fauve Azur à l’issue de la rencontre:
Etienne Didier Onana (c) crédit photos EDO.
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